« J’étais au Népal avec deux autres membres (Marie et Martine) de l’association Ecoliers du Monde pour lancer l’année scolaire.
Le 25 avril 2015 le 1er séisme d’une magnitude 7,8 nous a surpris en pleine journée et nous nous sommes immédiatement retrouvés au milieu de décombres et au coeur de la panique collective.
Un réflexe, fuir le centre ville pour rejoindre la campagne puis mettre en place un hébergement provisoire sous une toile de tente pour éviter les conséquences des répliques. Sains et saufs oui, mais définitivement marqués et choqués par ce que nous avons vu et ressenti.